Votre écrivain, ses romans, vos coups de coeur

Semaine plan-plan du 9 mai

Bonjour à tous !

 

La ballade de l’impossible, de Tran Anh Hung.

Mieux vaut être d’humeur méditative et réceptive pour savourer ces deux heures quinze de cinéma. Car il y a peu d’événements, bien qu’ils soient dramatiques. Mais l’image est belle, et les comédiens attachants. Deux jeunes hommes, Wabanabe et Kizuki sont amis depuis l’enfance, le second est amoureux d’une jeune fille, Naoko. Pourtant, Kizuki se suicide, sans explication mais avec détermination. La jeune fille est internée, Wabanabe en tombe amoureux à son tour, dans une relation sensuelle mais entachée par le funeste événement. C’est le Japon des années soixante, où les disques sont encore en vinyle et aucune téléphones portables à l’horizon.

 

Il était une fois un meurtre, de Baran Bo Odar.

Deux crimes à vingt ans d’intervalle, la soufrance, la solitude, l’impossible oubli, l’immense forêt où se trament les drames... L’image est belle, l’histoire cohérente. On ne s’ennuie pas.

 

Minuit à Paris, de Woody Allen.

Délicieuse ballade dans un Paris mythifié. Un scénariste qui décide de se mettre à la littérature « sérieuse », avec sa femme et ses beaux-parents à Paris. Il croit que la ville va l’aider dans son travail. Et de fait, chaque nuit à minuit, il lui arrive des expériences magiques... Du bon boulot, Woody !

 

Stone, de John Cuman

Magnifique affrontement entre De Niro et Edward Norton : l’un doit instruire la demande de libération sur parole du second. Mais l’homme a quand même incendié la maison de ses deux grands-parents, où ils gisaient blessés. Pour peser sur la décision de l’agent adminstratif, le prisonnier lui envoie sa femme qui se fait fort de le convaincre... Le tout dans un climat spirituel très marqué...

A voir !

 

Bon à tirer, de Bobby et Peter Farrelly.

Puor vous situer le niveau, ce sont les réalisateurs de Mary à tout prix.

En gros, deux femmes donnent à leur mari la permission de se conduire en célibataires pendant toute une semaine, ceux-ci étant obsédés du sexe. Elle emmènent les enfants au bord de la mer. Bien sûr, ce qui était prévisible n’arrivera pas...

On oublie !

 

De l’eau pour les éléphants, de Francis Lawrence.

Un jeune étudiant part tragiquement ses parents, et se retrouve largué. Par hasard, il se trouve sur la route d’un cirque. Le patron, complètement frappadingue, veille sur sa belle femme qui est écuyère-vedette. Leur lutte pour conquérir – ou garder – la belle est d’une grande violence. Les images sont belles et la lumière intéressante. Voilà...

 

Bonne semaine à tous !

 

 



14/05/2011
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