Décevante semaine du 10 avril
La nostra vita, de Daniele Luchetti.
Un homme perd sa femme lors de son troisième accouchement. Pour mettre ses enfants à l’abri et noyer son chagrin, il utilise des expédients plus ou moins légaux et se retrouve, bien sûr, en butte à divers problèmes créés par ceux-ci. C’est intimiste et réaliste, chez les petites gens d’Italie. Plaisant à voir, même si ce n’est pas indispensable.
L’agence, de Georges Nolfi.
Où l’on nous parle du destin et de ses conséquences : il y a là du fantastique, de l’émotion, du polard. Un jeune politicien réalise qu’autour des gens « comme vous et moi » grenouillent les dirigeants d’un monde parallèle qui le gèrent tel qu’ils l’entendent et le décident. Ainsi, lorsqu’il rencontre la « femme de sa vie », il comprend rapidement qu’elle n’est pas comprise dans le plan qu’il veulent instaurer...
Idem , pas indispensable...
A la semaine prochaine, bises à tous !